17/06/2010

Comme une aurore boréale..

Retourne toi, regarde, on voit la mer, on voit le large, la liberté, les directions sans marges. C'est Là-bas. Lève les yeux, que vois-tu ? Un infini nouveau, pas encore pris d'assaut, où les nuages vaguent à leur grès, où ils divaguent sans simagrées. Le vent les porte, le vent les pousse. Je voudrai qu'il m'emporte, uniquement de son souffle. Et ces plaines, que j'aimerai dévaler sans peines, y courir lorsque la lune est pleine. dans ces champs de blés,qui caressent mes pieds, qui compressent mes plaies. Allonger a l'aube du firmament, dans ces mêmes lieux, au même instant, où la brise m'y serre le cœur, elle qui panse mes mœurs. Le temps s'est arrêter Là-bas. Le soleil y brille. Et même lors des plus sombres moments, il ne cesse de briller, et d'éclairer les autres astres. Et la lune danse autour de lui. Et l'éclat de ce dernier finit par déteindre sur elle. Les étoiles rient, rient, rient, a ce que la beauté de leur rire nous pince quand on les admire. Oui, je n'en doute plus. Là-bas, existe bel et bien. Ce n'est qu'un point de vue, une vision des choses. Tout dépend de la manière dont on les voit. Tout est relatif. Je n'en doute plus.
(photo google)


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