21/06/2010
20/06/2010
Make me dream, oh please.
17/06/2010
Comme une aurore boréale..
Retourne toi, regarde, on voit la mer, on voit le large, la liberté, les directions sans marges. C'est Là-bas. Lève les yeux, que vois-tu ? Un infini nouveau, pas encore pris d'assaut, où les nuages vaguent à leur grès, où ils divaguent sans simagrées. Le vent les porte, le vent les pousse. Je voudrai qu'il m'emporte, uniquement de son souffle. Et ces plaines, que j'aimerai dévaler sans peines, y courir lorsque la lune est pleine. dans ces champs de blés,qui caressent mes pieds, qui compressent mes plaies. Allonger a l'aube du firmament, dans ces mêmes lieux, au même instant, où la brise m'y serre le cœur, elle qui panse mes mœurs. Le temps s'est arrêter Là-bas. Le soleil y brille. Et même lors des plus sombres moments, il ne cesse de briller, et d'éclairer les autres astres. Et la lune danse autour de lui. Et l'éclat de ce dernier finit par déteindre sur elle. Les étoiles rient, rient, rient, a ce que la beauté de leur rire nous pince quand on les admire. Oui, je n'en doute plus. Là-bas, existe bel et bien. Ce n'est qu'un point de vue, une vision des choses. Tout dépend de la manière dont on les voit. Tout est relatif. Je n'en doute plus.
(photo google)

06/06/2010
J'attendais en vain..
Belle amie, si chère utopie, une nuit, je t'ai crue impossible, impassible et inaccessible. Pourtant, nous étions réunis. Main dans la main, incorruptibles, infaillibles et irrésistibles, nous courions vers cet autre pays qui aujourd'hui, existence douteuse et implausible et au mythe indestructible, aurait sut rendre les horizons perceptibles et indéfectibles.
01/06/2010
Les gens ne vivent plus pour les belles choses mais pour celles qui ont un prix.

Je ne sais pas si j'arriverai. Si j'arriverai a comprendre pourquoi. Non, comprendre comment. Comment est-ce possible. Possible de survivre ici. Mais putain, ouvrez les yeux, rendez vous compte! Il n'y a pas d'avenir convenable possible. Chaque jour le démontre un peu plus. Ça fait beaucoup trop. Et beaucoup trop mal. Et même si on ne périt pas, ce ne serait toujours qu'un éternellement errement sans but et a la recherche d'une raison. Vivre pour trouver une raison de vivre. Mais ce qui fait le plus mal, c'est qu'il n'y a pas d'échappatoires possibles. Tu ne peux que t'adapter a cette société basée sur les biens matériels et la mondanité. Du moins, te résigner. Et je ne le veux pas. Je jure devant dieu, sur la tombe de mon arrière grand-mère, sur ma propre vie, je jure sur tout, sur la vie elle même, sur l'injustice et sur ma colère, que jamais, non jamais, je ne me résignerai. A m'en percer les poumons, a m'ouvrir les veines et a m'arracher le coeur que ma solution, je la trouverai, sans jamais me résigner.
La vie est belle. Le monde craint.
Inscription à :
Articles (Atom)